Lawlett, little tiny kawaii candy |

[list]Histoire

Elle devra reprendre les points suivants
»Naissance et ou rencontre de vos parents
" Pitié...tu vas pas me faire ça. S'il te plaît..."
Le regard suppliant de Sophie, une amie proche dessinatrice comme elle, n'est pas pour la rassurer. Faye est enceinte jusqu'aux yeux et c'est contre l'avis médical qu'elle a décidé de s'envoler pour un festival dédié à la bande dessinée en France. Pour rien au monde, elle ne l'aurait manqué. C'était une opportunité inespérée de se lancer et d'imposer son style chez les frenchies. Sophie avait essayé de la mettre en garde, lui jurant milles dieux qu'elle parlerait de ses travaux aux français qu'elle croiserait, mais Faye s'était entêtée, elle avait crié, pleuré, menacé, soudoyé jusqu'à ce que la dessinatrice cède. En cet instant, Faye regrettait amèrement son idée. Les deux mains crispés sur son ventre rond, elle serrait les dents en suant sansg et eau. Elle allait accoucher. Elle le sentait. Et dans un magnifique avion. Elles auraient mieux fait de prendre l'eurostar...
"Euh...y a-t-il un médecin, une infirmière, une sage-femme même un vétérinaire ou un étudiant en médecine à bord?" La voix mal assurée de Sophie et l'absurdité de sa demande font sourire la future mère qui se crispe à la nouvelle contraction. Lâchant brusquement, l'accoudoir qu'elle malmenait, elle pose sa main sur le bras de son amie, le broyant littéralement.
"C'est urgent, si en plus d'une accouchement vous voulez pas me faire une atelle, il serait temps de réagir."
Finalement, une petite grand mère se lève. Elle a été infirmière durant la seconde guerre mondiale. Travailler en milieu hostile, ça la connaît. Sophie et Faye décident, en désespoir de cause, de faire confiance, faute de mieux, à l'ancêtre qui plie difficilement les genoux. La gentillesse de la vieille dame, sa façon inédite de mettre à l'aise et de diriger d'une voix autoritaire le personnel à bord, auront raison du petit Lawlett qui se laissera tirer hors de l'accueillante matrice qui l'a fait mûrir jusqu'à aujourd'hui. Et tandis que l'avion se pose, les applaudissements qui secoueront l'appareil seront autant pour le pilote, la jeune maman et la sage femme improvisée. Sur la piste, c'est un père fébrile, en colère, heureux, ému, et fier qui acueille sa petite famille. Le petit Lawlett a beaucoup hérité du physique de sa mère, mais la fine crinière noire qui pousse déjà sur le petit crâne est on ne peut plus paternelle.


»Votre enfance
"Je suis persuadé qu'il en est amoureux. Il suffit de voir la façon dont il la regarde. Elle, par contre, elle semble pas plus intéressée que ça. Tu vois gamin, quand une femme parle à un gars et qu'elle tend sa gorge de la sorte, y a de la séduction dans l'air.
- De la quoi?
- Laisses tomber bonhomme. Tu comprendras quand tu seras grand."
Un médicomage appelle le jeune interne qui parlait à Lawlett. Il lui adresse un clin d'oeil avant de disparaître dans les couloirs de Sainte-Mangouste. Le petit Prewett passe pas mal d'après-midi dans cette pièce. On lui a aménagé un petit coin où il passe beaucoup de temps. Là, il voit un étrnage ballet jour après jour. Les personnages sont sensiblement les mêmes, ce sont les acteurs qui diffèrent à chaque représentation. Les grands yeux sombres se posent sur chaque adulte entrant ou sortant. Comme il s'ennuie, il les écoute. Les discussions comme il evient d'en avoir avec l'interne sont fréquentes. Que risque t on à parler à un môme de sept ans? Il ne comprend pas tout. Sauf que c'est là que le bât blesse. Lawlett est extrêmement mature pour son jeune âge. Il commence à appréhender la façon dont le corps et les attitudes des gens s'expriment. Les lèvres peuvent mentir, mais pas les gestes que l'on a lorsque l'on parle à quelqu'un.
Adam entre brusquement dans la salle de repos. Il se dirige d'un pas rapide vers son fils, lui ébouriffe les cheveux au passage avant de s'accroupir à sa hauteur et de l'embrasser sur le front. Lawlett a compris depuis longtemps que son papa était quelqu'un d'à part. Chez lui, son corps et ses lèvres disaient toujours la vérité. Les gens ne disaient jamais de méchancetés à son encontre et tout le monde était toujourd...comment dire déjà...
"Papa, comment on dit quand quelqu'un ne ment jamais, qu'il a pas l'esprit tordu?
- Sincère, mon bonhomme.
- Ah ouiii...sincère..."
Même pas sept ans et déjà cette voix singulière qu'il appelera par la suite la "voix de sa cervelle" se faisait entendre, comme s'il parlait depuis un point éloigné ou depuis un rêve particulièrement prenant.

"Hey! le bizarre!"
Lawlett pousse un profond soupir. Il a dix ans et suit un cursus scolaire moldu tout ce qu'il y a de plus banal bien que certains soirs son père fasse la cuisine à l'aide d'une baguette magique. Dans son école, Lawlett est le gamin que les petits durs essaient de rudoyer. Il est sans cesse poussé, on lui vole ses livres, on tente de lui faire des crocs en jambe. Bref, le bambin surdoué espérait beaucoup plus de la part de ses camarades. Mais après tout, qu'a-t-on à espérer de gamins de dix ans? Comme des loups autour d'une brebis, les trois cancres de sa classe l'entourent. Lawlett lève les yeux de son roman et les pose tour à tour sur les autres enfants. Le plus dodu fait un pas en avant menaçant.
"Pourquoi que t'as pas fait mon devoir? Je vais être obligé de m'expliquer devant mes parents. Ca se voit que c'est pas toi qui morfle. Alors que ça t'aurais pris deux secondes à faire.
- Je préfèrerais passer une heure ou deux à essayer de te faire comprendre l'exercice. Ce serait mieux que de te mâcher le travail. Tu ne crois pas?
- Tu m'insultes? Tu penses que je suis un crétin, c'est ça? Donnes moi ce bouquin."
Le petit gros arrache des mains de Lawliett son exemplaire de Bilbo le Hobbit et commence à déchirer les précieuses pages illustrées une par une en ricanant bêtement. S'il l'avait frappé, Law n'aurait absolument rien dit, mais s'attaquer à ses livres étaient une erreur, une faute impardonnable. Pour la première fois de sa voix, l'asiatique vit rouge, la colère bouillonna en lui comme de la lave incandescente et jaillit hors de lui en une onde magique invisible. Les pages du livre se plièrent jusqu'à former des dents de papier qui se mirent à mordre furieusement la main du dodu. Horrifié, ce dernier lâcha l'objet et fit feu des deux fuseaux en hurlant que Lawlett était un démon.
Les yeux écarquillés, le frêle garçon regarda ses tortionnaires détaler comme des lapins. Baissant les yeux, il avisa son livre au sol, les pages s'agitant mollement sous le vent. Prewett s'accroupit et se mit à les ramasser le regard perdu dans le vague. Il venait de découvrir qu'il était un sorcier comme son père...


»Réception de la lettre de Poudlard
Lawlett dormait du sommeil du juste lorsque la porte de sa chambre s'ouvrit brusquement à la volée. Il se réveilla, se dressant dans son lit, le regard encore ensommeillé et les cheveux en bataille. Dans les rayons doré du soleil matinal qui perçait les volets, l'adolescent distingua deux silhouettes. Ses parents. En plissant les paupières, il remarqua que son père tenait serré entre ses mains ce qui ressemblait à un long bout de papier. Sa mère avait les mains jointes sur sa poitrine, un sourire illuminant son visage. Ce fut Adam qui brisa le silence étrange de cette matinée qui démarrait de manière tout aussi étrange.
"Allez lèves-toi, files prendre ton petit-déj, fais toi beau...humm ça va pas être facile cette étape...et on file au Chemin de Traverse!
- Hein?"
Son lit se creusa soudain sous le poids de sa mère qui venait de se jetter à son cou. Lawlett résista mollement à l'étau des bras maternels et aux baisers mouillés de larmes.
"Mon lapin va aller à Poudlard. Tu feras attention à toi, Law. Tu mangeras bien, tu liras pas jusqu'à pas d'heure, tu t'habilleras chaudement en hiver et tu m'écriras toutes les semaines. Je t'enverrais des colis avec tes bonons moldus préférés. Oh! tu vas me manquer!"
Law n'avait distingué qu'un seul mot...Poudlard. Il déposa un baiser sur la joue de Faye, détacha doucement ses bras et fila à toute vitesse se préparer. Poudlard...il avait déjà lu pas mal de choses au sujet de la mythique école de sorcellerie anglaise. Mais là, il allait y vivre et y étudier. Tout en avalant ses céréales, il imaginait tous ces ouvrages poussiéreux qui n'attendaient qu'une seule chose : que ses mains et ses yeux les parcourent.


»»Achats du matériel
Lawlett avait été piqué à de nombreuses reprises chez Mme Guipure. Il s'était longuement attardé chez Fleury et Bott emplissant d'une main distraite le panier de fournitures. Il s'était perdu dans la banque Gringotts bien que son père ai lourdement insisté sur l'obligation qu'il avait de le suivre pas à pas. Il avait failli être écrasé par une pile de chaudrons si le vendeur n'avait réagi avec célérité. Il avait dévalisé la papeterie, jetté un regard morne sur la boutique d'accessoire de quidditch et sa baguette l'avait rapidement choisi. Bois d'ébène et crin de licorne, d'une longueur de 19,6 cm très exactement. Une baguette minuscule mais suffisamment lourde pour compenser les mains fébriles de son propriétaire. Sa mère avait lourdement insisté, il avait vainement protesté, mais Lawlett se retrouva l'heureux propriétaire d'une chouette effraie nommée Ulysse.
C'est une petite famille éreintée qui s'arrêta chez Perceval Fortarôme, le vendeur de glaces.
"Je crois que l'on a rien oublié. Ne t'inquiètes pas, Law...tout se passera bien." Law haussa les épaules en coulant un regard à son père dont les yeux brillants étaient bien plus éloquents.
"Mais qui s'inquiète?" Lawlett se pencha un peu en avant et prit les mains de ses parents dans les siennes. Il posa un regard grave et sérieux sur le visage de sa mère puis sur celui de son père. "Vous angoissez pas. Je suis assez futé pour me débrouiller tout seul et puis j'ai eu des bons parents. Je vais me faire plein d'amis bizarres, rencontrer plein de gens différents. Je vais lire des trucs que je n'aurais jamais imaginé pouvoir étudier. Je sortirais avec un beau diplôme et j'aurais la vie que je voudrais mener. Je vous donnerais de mes nouvelles le plus souvent possible. Bon. Moi, je vous laisse, y a une boutique que j'ai pas eu l'occasion de faire. C'est celle de confiseries et je risque d'être long. On se retrouve ici dans une heure et demie. A tout' Papa. A tout' Maman."
Et c'est en laissant deux parents éplorés au milieu d'un capharnaüm indescriptible de paquets que Lawlett se dirigea le nez en l'air et l'esprit ailleurs vers la confiserie.


»Première rentrée à Poudlard et répartition
Après un voyage en train passé à se lier à d'autres élèves et à se goinfrer de sucreries, après la traversée en barque du Lac de Poudlard, après avoir patienté quelques longues minutes en grignotant quelques patacitrouilles, Lawlett Halley Prewett fut enfin appelé à monter sur le tabouret et à entendre le verdict du Choipeau quand à sa répartition. Il avança d'un pas nonchalant, les mains dans les poches jusqu'à l'estrade où mangeaient les professeurs. Il dévisagea longuement le directeur. Un peu trop longtemps puisque ce fut le vieil artefact magique qui le tira de sa torpeur pour lui ordonner de grimper sur le tabouret. Quelques rires fusèrent dans la Grande Salle et Law haussa simplement les épaules un esquissant un sourire désolé. Le Choipeau effleura à peine ses cheveux noirs qu'il s'écria aussitôt "SERDAIGLE!" Et bien, c'était du rapide. Lui qui s'était imaginé que le vieux chapeau allait cogiter longtemps sur son cas, il était le premier surpris. Cet objet rapiécé et tout miteux était meilleur que lui dans l'art de décrypter les gens...un jour, il ferait mieux que lui. Non mais...on va pas se laisser avoir par un vieux chapeau tout moche.
Lawlett se dirigea vers la table des Bleus où il fut accueilli par des poignées de main chaleureuses. Récupérant au fond de sa poche un paquet de bonbons, il commença à picorer les petites dragées colorées tout en posant les yeux autour de lui. Il remarqua aussitôt les oeillades assassines entre certains élèves qui laissaient sous-entendre des situations conflictuelles...
"Hummmm...alors toi le vert, tu fais "genre je peux pas sacquer les Poufsouffles" mais tu regardes avec trop d'insistance leur table. Attends...tu regardes...lui. Le petit blond. Tu dois pas te sentir bien dans tes pompes, mon pote, ça s'est sûr.
- Hey! Prewell qu'est-de-que tu marmonnes.
- Ho, rien. Désolé. Je parlais à voix haute.
- C'est rien. T'es le fils d'Adam Prewett?
- Yop.
- Mon père est à Sainte-Mangouste aussi. Il m'a dit que t'étais une sorte de surdoué, un p'tit génie qui déchiffre les gens.
- Mouais si on veux.
- Enfin bref. Bienvenu parmi nous. Je m'appelle Ryan O'Reilly et je suis Préfet en Chef."

Hummm regardons l'écriture

j'ai le choix entre lya,ashley ou heuuu qui ecrit comme ca hmmm liamounet?

Tu m'as cité et j'ai mis un indice en plus dans le BG

Liamounet O_o petit blond jaune

Que tu es intelligent et clairvoyant

Oserais-tu te gausser de moi mini-candy?

Loin de moi cette idée, mon Caramel. Jamais je n'oserais proférer une seule parole te mésestimant.

J'espère bien. Je transfère ta fiche dans les validés

Ashley elle joue la jumelle de Law logiquement ^^ Enfin, cette fois ci, y aura pas de Manu pour crier dans les oreilles de son frère ..