Lumus Solem
Ad vitam æternam- A la vie éternelle

Et si vous appreniez que les dieux de l'antiquité n'étaient que des imposteurs? Des sorciers comme vous et moi manipulant le petit peuple en quête de richesse et de reconnaissance?Ils galvaudèrent dans de nombreux pays avant de se retrouver face à un roc, le christianisme. Ils endormirent leur âme, attendent une époque emplie de chaos pour s'éveiller, la notre....

Lumus Solem
Ad vitam æternam- A la vie éternelle

Et si vous appreniez que les dieux de l'antiquité n'étaient que des imposteurs? Des sorciers comme vous et moi manipulant le petit peuple en quête de richesse et de reconnaissance?Ils galvaudèrent dans de nombreux pays avant de se retrouver face à un roc, le christianisme. Ils endormirent leur âme, attendent une époque emplie de chaos pour s'éveiller, la notre....

Lumus Solem
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.



 
AccueilAccueil  PortailPortail  Dernières imagesDernières images  RechercherRechercher  S'enregistrerS'enregistrer  ConnexionConnexion  
Le deal à ne pas rater :
Soldes d’été 2024 : trouvez les meilleures promos !
Voir le deal

 

 Calixte Cohen [50%]

Aller en bas 
3 participants
AuteurMessage
Calixte Cohen

Calixte Cohen


Réputation : 3
Ritournelle : La vie du loup est la mort du mouton.

Rappeltout
Caractère :
Sexualité :
Amour-Amitié:

Calixte Cohen [50%] Empty
MessageSujet: Calixte Cohen [50%]   Calixte Cohen [50%] EmptySam 4 Juil - 17:11

« i d e n t i t é »
NOM :: Cohen
PRÉNOM :: Calixte
    SURNOM :: Cali’
    LIEU DE RÉSIDENCE :: Cambridge
    LIEU ET DATE DE NAISSANCE :: Le 14 Octobre 2034, hôpital de Cambridge.
    ÂGE :: 16 Ans


« f a m i l l e »

PÈRE :: Susucre, selon ma mère, est ce qu’on pourrait appeler un «méchant con». Cette créature inconnue des plus grands dictionnaires est un être simpliste qui rapatrie systématiquement tout à sa personne. Retenez qu’il a probablement été bercé trop près du mur. Souvent, la terre entière lui en veut mais sa fibre intellectuelle voire artistique vaincra contre tous ; c’est en tout cas ce qu’il croit avec ferveur.
Le con prolifère sous toutes les formes et dans tous les domaines possibles, ce qui laisse un champ d’action sans limite à sa connerie ; c’est là sa grande force.

Mais ajoutez à cela un brin de méchanceté et vous obtenez un cocktail prodigieusement irritant, tant il réussira à vous gonfler sans même vous approcher.

L’utilité et la réussite du méchant con sont, en général, proportionnellement inverses à sa démentielle persistance. L’endurance qu’il déploie dans la connerie et le conflit est particulièrement affligeante et de ce fait, même si ses coups ne vous atteignent pas, vous êtes tout de même envahi d’une profonde envie de le noyer dans un bain d’essence et d’y mettre le feu.

Parfois, l’acharnement étant payant, il parvient en plein onanisme à trouver quelques broutilles qui vont prendre de l’ampleur tant il va les ressasser et réussir à plus ou moins vous ennuyer... putain, le con !

La méchanceté, à la base, n’est en rien critiquable puisqu’un véritable méchant ne la déploiera jamais sans raison, sans objective fixe et sans taux de réussite garanti. Objectivement, la méchanceté devient, dans son cas, un puissant moteur d’efficacité puisqu’il ne s’égare jamais dans la futilité (le style avant tout, bien sûr).
Tandis que le méchant con va tirer à l’aveuglette et brasser beaucoup d’air pour pas grand-chose comme un têtard qui se débat dans un filet. Même si ce qu’il dit ou fait est unanimement considéré comme sombrement crétin, faux, injustifié ou vain, il ne faut pas s’étonner qu’il n’en tienne absolument pas compte.

Étant donné qu’il est con, logiquement, il est inutile de négocier avec lui.
Si jamais vous lui laissiez le bénéfice du doute (sur sa probable connerie) mais qu’il s’avère que vous être bel et bien tombé sur un personnage profondément stupide et hargneux, n’hésitez pas à le malmener comme le paillasson que vous rêviez d’avoir sur le pas de votre porte. C’est gratis.


    MÈRE :: « Ma vie est un long fleuve tranquille et il est évident que jamais je n’irai à contre courant pour l’agiter... Du haut de mes 40 ans et de mon poste de secrétaire au rabais, je ne pense qu’à mon Susucre d’amour, à mes jours de RTT, aux prochains rideaux que je vais acheter pour mon salon, aux études de mes enfants d’amours, à faire le ménage et à appréhender la ménopause, après 70 ans si possible (Ben oui, j’ai encore des gosses à pondre, malgré le fait que je ne parvienne pas à les élever)

    Je suis l’illustration parfaite de 90% de la population moldue, abreuvée de sujets de discussion grâce à la météo, avec un destin tout tracé et docilement désiré. Je trouve que c’est en parfaite harmonie avec ma vision wiccane fluffy de la vie.

    Comme si l’aspect de mon existence n’était pas assez castrateur, je n’ai pas conscience du taux d’affliction que j’impose à certaines femmes en prônant l’apogée de la féminité par l’accouchement. Je confonds donc aveuglément les mots féminité et maternité.
    Je fais partie intégrante de cette nouvelle génération pro-maternité qui est regardée comme une nette régression du statut de la femme par les gens qui ont une façon moins binaire et puérile d’aborder les choses. Pour moi, il faut vouloir profondément des enfants et en avoir, c’est la finalité de la vie, voyons, sinon que faites vous sur cette terre ?

    En soit, ce n’est pas critiquable, juste gerbant, mais j’ai une telle manière de dispenser ma bonne parole, en insistant sur le fait que ça soit la seule et unique façon de penser, que j’ignore avec ferveur la possible opinion inverse. Et je ne la respecte donc pas, comment le pourrais-je ? C’est tellement beau d’enfanter, d’avoir le fondement qui ressemble à la Corée du Nord, de se faire recoudre le coup de scalpel obligatoire si ça ne va pas assez vite... Vraiment, je crois que toutes les femmes, sans exception, vivent pour ce merveilleux moment ! »



SŒUR AINÉE :: « Du haut de ma pauvre majorité (Oui, j’ai 18 ans, MOI), de mon maquillage trash et de ma mèche rose, j’incarne aujourd’hui la nouvelle idole des jeunes alors que ma vie ne vaut pas mieux que la leur et que je ne peux même pas me targuer de leur apporter du rêve ou du bonheur.
Je suis une véritable source de frustration pour eux et ça me projette inexorablement vers une image surdimensionnée de ma personne. Poser mes fesses sur un tube cathodique cassé, c’est du grand art, pensez-vous !

Je veux qu’ils voient tout de moi, des mes nouvelles fringues jusqu’à mes accessoires, en passant par les voûtes privées de ma silhouette emballées dans mes petites culottes roses. Même si je mime de m’en tenir à distance, je ne vis qu’au travers de ses milliers de paires d’yeux qui viennent sournoisement voler mon image.
Comme si l’univers qui m’entoure n’était pas assez cerclé, je n’ai de cesse de polluer les sites communautaires pour faire valoir non pas ma plume mais ma photogénie et je m’étonne encore qu’on me dépossède de cet immense talent (chance ?) que je n’ai, en outre, jamais mérité. Il faut croire que, pour moi, on n’existe que quand on est regardé.

En réalité ? Je ne suis qu’une sombre mayrde qui se farcit les narines à la farine et qui se hache les avant-bras à coups de capsule rouillée pour porter les traces d’une vie qu’elle n’a pas vécue.
Je croule sous les problèmes fictifs. Avec une syntaxe aussi désarticulée que mon appétit de cadavre, qui a pourtant inondé plus d’une culotte chez mes groupies qui se cherchent un semblant de répondant, je conte ma vie comme on se mouche. C’est-à-dire que j’envoie chaque jour une purée informe de mots dégoulinant de morve et j’espère, comme les grands artistes, qu’on viendra éjaculer sur ma tombe.
Combien de personnes s’intéressent vraiment à ce que je raconte ? Comment ma journée, avec mon mépris public pour ma propre mère, mes propres sœurs, pour ma vie, et pour mon propre corps, que je sculpte à coups de hache, peut-elle nourrir autre chose que le voyeurisme fanatique dont toutes les petites pétasses sans respect pour autrui sont victimes ? Finalement, je ne me soucie pas de la réponse et je continue de feindre l’envie d’un anonymat gâché par le manque de retenue qui m’habite quand je développe une fière envie de publier ma créativité.

Bref, comment une personne si intègre que moi ne pourrait pas être adulée ? Je crois incarner ce que personne n’ose être, la grotesque et rebelle déchéance d’un système de consommateurs aussi frais qu’une marchandise sortie tout droit de la remballe, en plus de quoi je suis une menteuse, doublée d’une feignasse, triplée d’une irresponsable. Mes seules convictions sont l’entretien de mes cheveux et la drague avec un décolleté aussi profond que ma connerie. En conclusion, mon QI ne dépasse pas la taille de celui d’un acarien en période de reproduction. Je suis brave comme un animal domestique et stupide comme un lave-linge. »


    SŒUR CADETTE :: « Ma stupidité est poignante comme une maladie vasculaire, touchante comme une mauvaise comédie et palpable comme un bol de nouilles froides.

    Je suis de celles qui font une bien médiocre réputation aux blondes. Je prône la « happy attitude » mais ce n’est pas sans me faire cataloguer comme l’abrutie de service qui se mêle de tout, surtout de ce qui ne la regarde pas et qui rate, par la même occasion, de bonnes occasions de se la boucler. En fait, j’adore passer en revue les évidences... les miennes !
    « Mais tu sais Calixte, c’est super merveilleux de vivre pour donner la vie ». Enfin, vous voyez, ce genre de choses...

    Heureusement, j’ai en « background » plusieurs atouts dans ma poche pour être perçue comme quelqu’un de valeureux, à savoir celui de m’être judicieusement choisie une victime à dépecer dès mon entrée à Poudlard. J’ai plein d’idées, mais j’ai beaucoup de mal à les exprimer, puis les concrétiser puisque je suis, constitutionnellement, une véritable clé de douze. Alors pour mettre tout ça en musique, je me suis, depuis plusieurs années, clairement approprié le style de ma très chère mère préférée pleine de talent, dont je ne manque pas de vanter les mérites de manière tout à fait indiscrète, comme une harpie qui lèche les bottes du gourou qu’elle s’est choisi... Bah oui, je ne peux pas les ignorer ses mérites, puisque c’est en lui piquant délibérément son attitude que j’ai connu la réussite.

    Injuste réussite me direz vous ?
    Point du tout ! Mis à part le fait que je fais tout le temps la même chose qu’elle, que je ne suis pas capable de justifier la teneur de mes concepts sans un bon coup de pied au cul, que je parle comme un moulin à vent qui dispense des conseils de vie à tout le monde et que je ne me prends pas pour mon logarithme, je suis une charmante créature, n’est il pas ? Personne ne me dit rien, donc en fille avisée que je suis, je me dis que personne n’y voit rien ou en tout cas pas d’inconvénient à ce que je me fasse une réputation béton avec une inspiration qui frôle le papier mâché...

    Sans vouloir lancer de débat sur des choses hautement philosophiques qui vous dépassent (oui je suis de bonne famille, vous allez voir...), je me considère proche du monde populaire depuis que je me suis payé le tout dernier balais de Quidditch (Dont je ne me sert jamais d’ailleurs).
    Ah bon ? Ce n’est pas de ça dont est munie la courante classe populaire ? Logique, où es tu ?

    Et pour que cette redoutable arme de popularité fonctionne entre mes mains, j’ai pris la très mauvaise habitude de croire que les gens étaient à ma disposition et qu’ils n’allaient pas s’offusquer si je venais leur parler seulement deux fois dans l’année pour leur demander de m’entrainer « gentiment » pendant deux ou trois heures, voire de me les montrer, voire de m’expliquer ! C’est dire si je n’ai peur de rien, c’est dire aussi si je ne me rends compte de rien... Je me suis, à ce propos, pris le premier choc frontal de ma vie, c’est de là qu’est née la protubérance sur mon front, non pas d’une greffe de cerveau. Ma sœur préféré, ma meilleure amie, mon idole sur lequel j’avais l’habitude de m’essuyer les godasses m’a littéralement envoyée valser avec mon petit balais doré, me disant qu’elle se fichait pas mal de mes besoins et que je n’avais qu’à faire comme tout le monde ; improviser... (Vite, injectez-moi de la happy attitude) »



« s c o l a i r e »
MAISON :: Serpentard
ANNÉE D’ÉTUDE :: 6ème Année
    POSTE PARTICULIER :: A voir...
    CLUBS :: Aucun
    COURS SUIVIS :: Sortilèges, Potions, Métamorphose, DCFM, SCM.



Dernière édition par Calixte Cohen le Ven 17 Juil - 11:38, édité 8 fois
Revenir en haut Aller en bas
Calixte Cohen

Calixte Cohen


Réputation : 3
Ritournelle : La vie du loup est la mort du mouton.

Rappeltout
Caractère :
Sexualité :
Amour-Amitié:

Calixte Cohen [50%] Empty
MessageSujet: Re: Calixte Cohen [50%]   Calixte Cohen [50%] EmptySam 4 Juil - 23:10

« c o m p o r t e m e n t »
SEXUALITE :: Hétéro
    MANIES :: Vous la voyez, au loin. Elle est assise, là, sur une chaise, plongée dans un livre. Parfois, ses sourcils se froncent, et sa tête esquisse à peine un mouvement de gauche à droite, comme pour réfuter une information qu’elle sait inexacte, faisant danser ses courtes boucles brunes. D’une main, elle tourne la mage, et ses doigts carillonnent sur la table en bois, presque sans bruit, délicatement, machinalement. Et, lorsqu’elle s’en aperçoit, elle suit sa lecture avec son index, attentive. Son autre main ? Elle joue avec un crayon, le faisant tournoyer enter ses doigts habiles, prenant parfois des notes impeccables, griffonnant des choses que vous savez sans rapport, ou dessinant tout et n’importe quoi lorsque son attention retombe. Vous savez que si vous revenez demain, elle sera toujours à la même table, dans cette position. Les mêmes gestes, toujours. Et elle n’y fait pas attention. Parfois, lorsque vous la croisez au détour d’un couloir, vous voyez ces doigts pianoter sur sa pile de livre ou tout simplement dans l’air, frôlant sa robe de sorcier.


    PHOBIES :: Vous vous êtes approchés. Le livre qu’elle lit est pour la Défense contre les Forces du Mal, vous le reconnaissez. Elle en est au chapitre des Épouvantards. Elle a prit quelques notes mais a surtout beaucoup dessiné sur sa feuille. Énormément de choses, que vous n’arrivez pas toutes à reconnaître. Une lune, toute ronde, avec une forme à l’intérieur. Une sorte d’être humain difforme. Une espèce de chat, également. Vous reconnaissez aussi une patte. Aurait-elle peur des loups ? Pour en savoir plus, vous décidez de lui adresser la parole.

    « Epouvantards… Alors, qu’est-ce qui te fait le plus peur ? »

    « Tu veux dire… A part se retrouver toute seule, coincée dans les toilettes sans papier ? »

    Elle n’a pas levé les yeux de son bouquin. Visiblement, vous êtes de trop, et elle ne compte pas vous révéler cette information qui manifestement, lui tient à cœur.


    QUALITÉS :: Mais, si vous avez l’impression qu’elle n’est pas trop sociable, vous êtes intrigués par ces dessins. Alors, vous décidez de prendre sur vous, de vous excuser, puis de vous présenter convenablement. Elle lève son regard sur vous et vous sourit. Une façon de vous faire comprendre qu’elle vous accepte. Vous êtes curieux. Elle vous apprend être en sixième année. Vous ne l’aviez jamais remarqué avant. Normal, vous répond t’elle, sourire aux lèvres. En réalité, vous ne voyez que ça. Elle sourit très souvent. Et quand ce dernier s’efface, il réapparaît souvent très rapidement. A vos questions, à vos réflexions, elle vous répondra de manière rigoureuse et réfléchie. Toujours attentive, à vos gestes, à vos mots, à votre regard, votre façon d’être, Calixte est très observatrice. Vous la voyez, réfléchissant, riant, vous la voyez écrire, dessiner, et quelle que soit son activité, elle analyse. Vous le sentez, au plus profond de vous-même, vous voyez ses yeux rivés sur le papier, mais vous avez cette impression tenace d’être scanné dès le moindre mouvement. Mais, lorsqu’un de ses mouvements vous dévoile le blason de Serpentard, vous vous étonnez. La blonde ne vous semble en rien une Serpentard. Vous l’auriez pus volontiers mis à Poufsouffle. Calme, posée, souriante, peut-être un peu réservée lorsqu’on aborde des sujets plus personnels…


    DÉFAUTS :: Vous la questionnez, sur ces dessins bizarres, sur le ton de la plaisanterie. Elle sourit, dit qu’elle ne sait pas trop, mais vous la voyez quelque peu perplexe. Vous insistez. Froncement de sourcil. Elle vous regarde, et semble se refermer comme une huitre. Son ton devient agressif, ses gestes vifs et nerveux. Vous essayez de la calmer, prenez sa main lorsque celle-ci s’envole pour vous expliquer qu’on ne questionne pas ainsi les gens. Mais, dès que votre peau aura touché la sienne, sa main se retire très vite, comme si vous l’aviez brulé. Haussement de sourcil. Que se passe-t-il ? Vous le lui demandez. Mais, déjà, la voila replongée dans la lecture de son livre. Soupir de votre part. Vous cherchez à comprendre. Elle vous ignore. Vous répond parfois avec des piques, se moque de vous, vous agresse, sans lever les yeux de son bouquin. Vous les voyez, qui lisent depuis deux minutes la même ligne. Vous ne comprenez plus. Où est passé Calixte ? Vous décidez de jouer le même jeu qu’elle, et sortez cette feuille que vous avez trouvé non loin, et qui présente une famille prénommée « Cohen ». Vous lui demandez, un brin d’absence dans la voix, comment elle a pu écrire de telles immondices sur sa famille…


    CARACTÈRE :: « Pardon ? Si c’est moi qui ait écrit ce… Oh mon Dieu non ! Qu’est-ce donc, c’est la première fois que je vois cela (AhAh). C’est une description de ma famille tu dis ? (Rire perplexe) Je n’aurais jamais été capable d’écrire de telles… De telles… De telles infamies sur ma famille adorée !! C’est ignoble de ta part de m’avoir cru l’auteur de cette chose. Sérieusement. Tss… Attends que je liste.
    Méchant c… Mais ! Il nous insulte en plus ! Non ! Mon père n’est ab-so-lu-ment pas comme ça ! Il est, disons… Un peu stressé par le travail, mais tout le monde comprend cela, non ? Tiens, je n’y suis pas. Je ne sais pas si c’est flatteur ou pas, mais c’est curieux. Enfin, tant mieux pour moi. Mon écriture? (Observateur…) Ah, non mais tu te trompe. Alors comme ça, tu n'as pas idée de ce que l’on peut faire aujourd’hui, avec la magie ? Un petit coup de baguette et voila, je suis l’accusée idéale. Cesse de m’insulter immédiatement, s'il te plait.
    Tout de même, je me demande bien qui a pu écrire ce torchon. Tu n'as pas une petite idée ? Oh, si on le trouve, il faudra le châtier ! Si je mets la main sur cette personne, je… je… je ne sais pas, mais je trouverais (Je lui arracherais les tripes et les utiliseraient pour le pendre à un arbre ?) ! »

    Elle vous rend la feuille d’un mouvement vif, et esquisse un geste que vous interprétez facilement. Elle ne veut plus en entendre parler. Vous la voyez rarement ainsi, les sourcils froncés, perplexe, le regard dans le vague, semblant trouver la solution de cette énigme. Ses doigts fins carillonnent sur la table, et vous êtes véritablement persuadés qu’elle n’y est pour rien. Comment aurait-elle pu ? Elle est tellement embêtée par cela. En une seconde, elle aura changé d’attitude. Tellement convaincante, surtout. Cette personnalité bipolaire, vous n’avez fait que l’effleurer du bout des doigts, et vous vous sentez tellement en accord avec elle, à ce moment... Elle manipule les gens comme elle respire, et parviens parfois même à se conditionner, afin de ne laisser aucun indice. Et bien sûr, vous êtes tombé dans le panneau... Adorable, n'est-ce pas ?


    RELATIONS :: Vous profitez d'un éclat de rire pour lui demander, avec gentillesse et douceur, sans brusquerie, pourquoi une telle réaction tout à l'heure. Elle passe sa main dans ses cheveux, et hausse les épaules. Je ne sais pas, vous répond t'elle. Vous savez (Ou pas) qu'il est possible qu'elle se renferme à nouveau. Imprévisible. Et pourtant, vous tentez le coup, et formulez une hypothèse quelconque. Elle vous regarde bizarrement. Vous voulez lui assurer que... Mais déjà, elle ferme son livre avec violence, et vous parle sans gentillesse.

    « Bon. Je t'intéresse ? Ça te colle un ulcère de pas savoir toute ma vie ? Ça va te traumatiser jusqu'à c'que mort s'en suive ? Tant mieux, parce que tu vois, je m'en fous. Tu peux me balancer autant de sourires que tu veux, tu dégages sans problème. »

    Sauvage est sûrement le premier mot qui vous viens à l'esprit. Elle ne s'adresse qu'au gens qui viennent la voir, intentionnellement ou non, et vous savez qu'elle ne commence jamais au grand jamais une conversation, sûrement à cause de son caractère qui change si facilement. Filles ou garçons, peu importe. Elle discute, peut rire, voire éventuellement se faire des amis, vous l'avez vu trainer avec d'autres de temps en temps, mais la solitude reste omniprésente, et se ressent dans son regard, dans sa voix, dans ses réactions.

    Elle vous donne l'impression d'être un animal chassée, traquée sans relâche, aussi ne se confie t'elle jamais, et vous doutez même qu'elle le fasse à ses meilleurs amis. Si toutefois elle les considère comme ses amis, puisqu'avec elle, rien n'est moins sûr...


    WHAT ELSE :: Vous savez que vous ne devez pas la quitter sur une mauvaise impression si vous compter un jour exister à nouveau dans son esprit. Alors vous vient à l'idée une question des plus ridicule qui, en plus de ne vous avancer en rien, risque aussi de la rebiffer d'avantage. Mais qui ne tente rien n'a rien.

    « Excuse moi, en réalité, je voulais juste savoir... Tu es quoi au juste... Timide, extravertie... Ou... Séductrice ? »

    Haussement de sourcil. Vous imaginez la question dans son esprit. C'est du lard ou du cochon ? Elle vous regarde bien, vous paraissez sérieux. Alors, elle éclate de rire, tout simplement, puis se penche doucement vers vous, comme dans l'intention de vous révéler un secret.

    « Sérieusement... T'as fumé quoi ? »



« a p p a r e n c e »
TAILLE :: 1 mètre 68
POIDS :: 60 kilos.
    PHYSIQUE :: « J’ai mal. Véritablement mal. Je ne sais plus si mon cœur bat. Mon cœur bat-il ? Je ne parviens à soulever ma main. Si lourde. J’ai si mal. Mes entrailles me donnent l’impression d’être déchirées. Mais je ne peux voir mon ventre. Ma tête est encore plus lourde. J’ai soif. Très soif. Moins soif que mal. J’ai peur, aussi. Je me suis montré stupide. On m’avait prévenu. On nous avait dit. N’y allez surtout pas. Partout, mais pas dans la forêt interdite. Vous risquez la mort. Il y a des créatures plus dangereuses que ce que vous pouvez imaginer. Comme ais-je pu me sentir aussi stupide ? Aussi avide de popularité ?

    Je suis là, au sol. Je ne parviens plus à bouger. Je ne sais sur quelle créature je suis tombé. J’ai mal… Mais j’ai peur, surtout, oui. Cette peur m’envahi, me prend et joue avec moi. Dans la brume se dessine une silhouette, et cela, je le crains plus que tout. Est-ce une créature maléfique ? Une femme ? Grande, assez fine, je me sens petit. Véritablement petit. Elle dégage une… Une telle vague de… De… Je ne parviens pas à en saisir la teneur. Comme une aura floue qui l’entoure. Palpable. Et pourtant, elle s’approche doucement. Une capuche rabattue sur sa tête cache ses traits. Elève ou Adulte ? Peut-être pourra t’elle m’aider.

    « Que fais-tu ici… Tu le sais, pourtant, que c’est interdit. »

    Elle soupire doucement. Comme une brise sur mon visage. Sa voix s’infiltre en moi, douce et chaleureuse, réconfortante. J’en oublie la peur. J’en oublie la douleur. Son regard d’un gris argenté, pailleté d’éclats noirs, ils me contemplent ces yeux, comme jamais je n’ai été contemplé. Ils me scrutent, me cherchent, tentent de savoir, de trouver. Ils trouvent mon âme, la palpent, jouent avec elle, la fouillent. Elle me fascine, mais cette inspection me glace les os. Je n’ose plus respirer.

    Avec la douceur de son souffle, elle se penche délicatement vers moi. Un coup de vent soudain fait s’envoler sa cape, me dévoilant son visage. Le tissu virevolte derrière elle, mais elle n’y accorde aucune d’attention. Ses cheveux, d’un blond angélique qui contraste avec son regard, sont trop court pour m’atteindre, mais leur danse, au gré du vent, me suffit amplement. Sa main s’envole, vient vers moi, se pose sur mon front. Brulant. Des mains fines, aussi chaude que sa voix. N’est-elle qu’une illusion de la mort ?

    « As-tu mal ? »

    « …Ange ?... »

    C'est le seul mot que parvient à glisser ma gorge fatiguée. Ses lèvres s’étirent en un sourire délicat. Sur sa peau pâle, elles semblent comme une friandise. J’aurais aimé la gouter, lui voler un baiser, mais je ne suis capable de rien. Elle secoue délicatement sa tête, faisant à nouveau danser ses boucles blondes. Je ne m’en lasserais jamais. Un délicat parfum me parvient, tandis que dans un souffle, elle articule un mot. Un seul. Désolé, me dit-elle. J’ai envie de lui dire que si je meurs, ce n’est pas de sa faute. J’ai envie de la rassurer. La peur m’a quitté, je la sens fragile. Elle, toute fine malgré sa grandeur et le paradoxe qui se dégage d’elle. Noir, blanc. Douceur, Froideur. Délicatesse… Force. Elle me semble à cet instant bien plus vulnérable que moi. Ses yeux reflètent la peur en même temps que la mort. Et, dans un dernier mouvement qu’elle a pour se retirer, je sens sur mes lèvres mourir une larme salée. Dernier souvenir qu’il me fut donné d’apercevoir…

    Avant qu’un rayon de la lune pleine n’accroche son regard. »

Revenir en haut Aller en bas
Baël Henzel
I'm a caramiam
Baël Henzel


Rang : Come on it's highway to hell
Réputation : 648
Divinité suivie : Hades
Ritournelle : Il n'y a pas d'hiver au pays de l'espoir
Race : Humain

Rappeltout
Caractère : Enjoué, enteté, furax, possessif, joueur
Sexualité : Bisexuel
Amour-Amitié:

Calixte Cohen [50%] Empty
MessageSujet: Re: Calixte Cohen [50%]   Calixte Cohen [50%] EmptyMar 7 Juil - 22:21

J'adore déjà cette fiche, vivement la suite
Revenir en haut Aller en bas
https://lumus-solem.forumsrpg.com
Mercy Oxfow

Mercy Oxfow


Rang : .
Réputation : 197
Age : 32
Divinité suivie : Hermès, le seul le vrai
Ritournelle : Approche !! Encore un peu !!
Race : Vampire

Rappeltout
Caractère : piquant et secret
Sexualité : bisexuelle
Amour-Amitié:

Calixte Cohen [50%] Empty
MessageSujet: Re: Calixte Cohen [50%]   Calixte Cohen [50%] EmptyJeu 23 Juil - 23:57

Bonjour Bonjour :!!
enfin de compte, je m'occupe de ta fiche mamzelle !!

j'aimerais savoir où tu en es, puisque je te vois connectée régulièrement et qu'il n'y a rien de neuf par ici ^^


au passage : félicitations pour cette belle fiche.
Revenir en haut Aller en bas
Calixte Cohen

Calixte Cohen


Réputation : 3
Ritournelle : La vie du loup est la mort du mouton.

Rappeltout
Caractère :
Sexualité :
Amour-Amitié:

Calixte Cohen [50%] Empty
MessageSujet: Re: Calixte Cohen [50%]   Calixte Cohen [50%] EmptyLun 27 Juil - 18:23

Arf >> Merci à vous, et je suis désolée de tant tarder.

J'ai fait les deux premières parties de mon histoire, et je peine à faire le reste. J'ai pas mal de trucs à faire IRL qui me prennent tout mon temps, et sur lesquels je ne peux déroger, bien que je le voudrais beaucoup --' J'aurais pu poster le début mais tant que je n'ai pas tout fait, c'est susceptible de changer, alors s'pas cool...

J'ai également la chance (AhAh) de partir en vacances dans deux jours, pour revenir mi-aout. Alors bon, c'est pire encore ^^' (Bah, ça me permettra de coucher sur le papier mes idées). Alors à vous de voir, de me dire si vous préférez remettre le prédéfini en libre, ou si vous me faites confiance pour m'y remettre à fond dès que je rentre =)

Voila, et merci d'avoir quasiment attendu un mois pour si peu >>
Revenir en haut Aller en bas
Baël Henzel
I'm a caramiam
Baël Henzel


Rang : Come on it's highway to hell
Réputation : 648
Divinité suivie : Hades
Ritournelle : Il n'y a pas d'hiver au pays de l'espoir
Race : Humain

Rappeltout
Caractère : Enjoué, enteté, furax, possessif, joueur
Sexualité : Bisexuel
Amour-Amitié:

Calixte Cohen [50%] Empty
MessageSujet: Re: Calixte Cohen [50%]   Calixte Cohen [50%] EmptyLun 27 Juil - 20:32

Non pour moi aucun probleme ^_^
Revenir en haut Aller en bas
https://lumus-solem.forumsrpg.com
Mercy Oxfow

Mercy Oxfow


Rang : .
Réputation : 197
Age : 32
Divinité suivie : Hermès, le seul le vrai
Ritournelle : Approche !! Encore un peu !!
Race : Vampire

Rappeltout
Caractère : piquant et secret
Sexualité : bisexuelle
Amour-Amitié:

Calixte Cohen [50%] Empty
MessageSujet: Re: Calixte Cohen [50%]   Calixte Cohen [50%] EmptyLun 27 Juil - 20:41

non plus ^^
on peux attendre ^^
Revenir en haut Aller en bas
Contenu sponsorisé





Calixte Cohen [50%] Empty
MessageSujet: Re: Calixte Cohen [50%]   Calixte Cohen [50%] Empty

Revenir en haut Aller en bas
 
Calixte Cohen [50%]
Revenir en haut 
Page 1 sur 1

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Lumus Solem :: Grimoires et Lois :: #.Panthéon des héros-
Sauter vers: